C’est un recueil de nouvelles, avec comme thématique la mise avant de la consommation actuelle d’où le titre très explicite.

Christophe Léon n’est plus à présenter, ce petit livre de cent pages est une véritable petite pépite. Il nous plonge dans la société de consommation à travers des nouvelles toutes assez drôles. Une néanmoins est dédiée au père Noël avec l’exploitation des enfants pour l’extraction du cobalt nous permettant ainsi d’acheter nos téléphones portables. La dernière courte histoire est tout simplement hilarante avec une fin détonante.

L’auteur nous sensibilise au monde de la consommation avec humour et panache à travers six nouvelles toutes aussi truculentes que pertinentes.

Proposé par Eric (Médiathèque Louis-Aragon de Mantes-la-Jolie)

Vous trouverez ce document à la médiathèque Louis-Aragon de Mantes-la-Jolie

Une fille de perdue c’est ... une fille de perdue

Claire Renaud

Sarbacane

Un matin, dans la cour de son lycée de Seine et Marne, le monde de Marcel s’effondre.  Son amour, le premier, Aurélia vient de le quitter avec un simple petit mot griffonné, elle qui n’écrit jamais. Pour lui c’est un déchirement, une catastrophe, l’apocalypse. Pourquoi, alors que tout semblait se passer si bien son grand amour décide-t-il de lui briser le cœur sans explication ? Comment continuer à vivre sans elle ? Sans compter que la vie familiale de Marcel est sens dessus-dessous entre un père qui a fui ses responsabilités et une mère accro à la bouteille.  Il lui faudra l'aide de tous ses amis pour pouvoir espérer s’en sortir. 

Il existe de très nombreux romans pour adolescents parlant d’amour mais rares sont ceux qui évoquent simplement une rupture. Si c’est de plus en plus commun c’est toujours intéressant d’avoir un personnage principal masculin dans une œuvre traitant de l’amour même si c’est pour parler de sa fin. 

Marcel est un protagoniste sympathique sans pathos que l’on suit avec énormément d’empathie dans sa reconstruction.  Arrivera-t-il à surmonter sa douleur ou réussira-t-il à reconquérir la belle et indomptable Aurélia, ce sera à vous de le découvrir. 

Et puisqu’un malheur n'arrive jamais seul, en plus de devoir gérer ses peines de cœur au lycée, notre pauvre Marcel doit également faire face aux problèmes qu’il a avec sa mère qui souffre d’alcoolisme et qui se montre souvent violente. 

Même si la problématique de la dépendance n’est pas au premier plan, elle est elle aussi traitée avec beaucoup de réalisme et sans happy end forcé. Le personnage de la mère plane tel un fantôme sur le récit, esprit perturbé qui percute la vie de Marcel qui n’a rien dit à ses amis de sa situation et qui essaye de se persuader que tout est normal. 

Il est tellement obsédé par son chagrin d’amour que le reste lui semble banal. Le fait que son père passe en coup de vent dans sa vie, se contentant de l’emmener au cinéma (moyen de communication entre les deux personnages, qui n’évoquent jamais frontalement leurs problèmes), le fait que Maria sa « nounou » porte cette famille bancale à bout de bras et bien évidemment cette mère qui gangrène sa vie.   

Cependant malgré des sujets très sombres, il y a dans ce livre une source de lumière : le meilleur ami de Marcel, Blaise et toute sa famille haute en couleur. Ils sont tout simplement irrésistibles. Cette famille nombreuse de matheux, un rien dans leur bulle est vraiment la force de ce roman et son moteur car c’est elle qui entoure Marcel et le pousse à avancer. Leurs échanges sont drôles, savoureux et offrent de vrais moments de fraîcheur. 

Il y a aussi la petite amie de Blaise, la survoltée Jen pleine de vie et d’optimisme qui donne un point de vue féminin au milieu de tous ces messieurs aux forts caractères.  

Avec « une fille de perdue c’est une fille de perdue » Claire Renaud nous offre une histoire simple, une histoire de vie banale mais tellement juste portée par des personnages savoureux. 

C’est une leçon pour la vie qui nous apprend en douceur à tout surmonter quand on est bien entouré.

Proposé par Laëtitia ( Médiathèque Paul Valéry GARGENVILLE )

​

Une fille de perdue c’est ... une fille de perdue

Claire Renaud

Sarbacane

Un matin, dans la cour de son lycée de Seine et Marne, le monde de Marcel s’effondre.  Son amour, le premier, Aurélia vient de le quitter avec un simple petit mot griffonné, elle qui n’écrit jamais. Pour lui c’est un déchirement, une catastrophe, l’apocalypse. Pourquoi, alors que tout semblait se passer si bien son grand amour décide-t-il de lui briser le cœur sans explication ? Comment continuer à vivre sans elle ? Sans compter que la vie familiale de Marcel est sens dessus-dessous entre un père qui a fui ses responsabilités et une mère accro à la bouteille.  Il lui faudra l'aide de tous ses amis pour pouvoir espérer s’en sortir. 

Il existe de très nombreux romans pour adolescents parlant d’amour mais rares sont ceux qui évoquent simplement une rupture. Si c’est de plus en plus commun c’est toujours intéressant d’avoir un personnage principal masculin dans une œuvre traitant de l’amour même si c’est pour parler de sa fin. 

Marcel est un protagoniste sympathique sans pathos que l’on suit avec énormément d’empathie dans sa reconstruction.  Arrivera-t-il à surmonter sa douleur ou réussira-t-il à reconquérir la belle et indomptable Aurélia, ce sera à vous de le découvrir. 

Et puisqu’un malheur n'arrive jamais seul, en plus de devoir gérer ses peines de cœur au lycée, notre pauvre Marcel doit également faire face aux problèmes qu’il a avec sa mère qui souffre d’alcoolisme et qui se montre souvent violente. 

Même si la problématique de la dépendance n’est pas au premier plan, elle est elle aussi traitée avec beaucoup de réalisme et sans happy end forcé. Le personnage de la mère plane tel un fantôme sur le récit, esprit perturbé qui percute la vie de Marcel qui n’a rien dit à ses amis de sa situation et qui essaye de se persuader que tout est normal. 

Il est tellement obsédé par son chagrin d’amour que le reste lui semble banal. Le fait que son père passe en coup de vent dans sa vie, se contentant de l’emmener au cinéma (moyen de communication entre les deux personnages, qui n’évoquent jamais frontalement leurs problèmes), le fait que Maria sa « nounou » porte cette famille bancale à bout de bras et bien évidemment cette mère qui gangrène sa vie.   

Cependant malgré des sujets très sombres, il y a dans ce livre une source de lumière : le meilleur ami de Marcel, Blaise et toute sa famille haute en couleur. Ils sont tout simplement irrésistibles. Cette famille nombreuse de matheux, un rien dans leur bulle est vraiment la force de ce roman et son moteur car c’est elle qui entoure Marcel et le pousse à avancer. Leurs échanges sont drôles, savoureux et offrent de vrais moments de fraîcheur. 

Il y a aussi la petite amie de Blaise, la survoltée Jen pleine de vie et d’optimisme qui donne un point de vue féminin au milieu de tous ces messieurs aux forts caractères.  

Avec « une fille de perdue c’est une fille de perdue » Claire Renaud nous offre une histoire simple, une histoire de vie banale mais tellement juste portée par des personnages savoureux. 

C’est une leçon pour la vie qui nous apprend en douceur à tout surmonter quand on est bien entouré.

Proposé par Laëtitia ( Médiathèque Paul Valéry GARGENVILLE )

​

 Si tu as entre 8 et 11 ans et que tu aimes les histoires qui font un peu frissonner, pense à la collection des Mini Syros Polar !

Une collection de courts romans policiers avec de bonnes enquêtes qui font parfois un peu peur et qui respectent tous les codes du polar : crime, suspects, témoins, fausses pistes, suspense et résolution de l’enquête.

Qui a tué Minou-Bonbon ? de Joseph Périgot :

Un jeune garçon de 6 ans mène l’enquête pour retrouver l’assassin de Minou-Bonbon, le célèbre chat du quartier qui vivait avec le père Latuile, un vieil homme à la retraite. Trois suspects : le boucher qui n’aime pas les animaux, le peu sympathique marchand de journaux et une habitante du quartier obsédée par la propreté.

Dès 8 ans.

Crime caramels de Jean-Loup Craipeau :

On dit souvent que la gourmandise est un vilain défaut… Gilles, le héros de cette histoire va effectivement vite s’en apercevoir ! Ce grand gourmand qui chaparde parfois quelques bonbons chez le confiseur du bas de son immeuble, est coincé à cause de sa maladresse dans une histoire d’assassinat. Mais l’assassin n’est pas toujours celui que l’on croit ! Un bon suspense et une touche d’humour.

Dès 9 ans.

Menaces dans la nuit de Marc Villard :

Un soir qu’il est couché, prêt à s’endormir, Ricky entend de l’autre côté du mur, la lourde voix grave de son voisin qui menace sa femme. Très inquiet pour sa voisine, Ricky pense qu’elle est en danger auprès de cet homme agressif. Mais les choses vont s’accélérer et prendre une toute autre tournure…  Un polar bien écrit au suspense efficace. Coup de théâtre garanti !

Dès 9 ans.

Pas de whisky pour Méphisto de Paul Thiès :

Méphisto est un chat noir qui, quand l’occasion se présente, a la fâcheuse habitude de boire un peu de whisky, ce qui le rend littéralement fou et lui fait perdre tout contrôle. Cela dit dans cette histoire, cette manie pourrait bien sauver tout le monde, surtout Miloud et son papa, arrêtés et emprisonnés pour un vol qu’ils n’ont pas commis. Un polar drôle où la justice heureusement l’emporte sur les dangereux criminels.

Dès 9 ans.

Le chat de Tigali de Didier Daeninckx :

François Huet, maître d’école s’apprête à quitter l’Algérie, après plusieurs années passées à Tigali, pour rejoindre la France et faire sa rentrée scolaire près de Marseille. Avec sa femme et sa fille, ils décident d’emmener avec eux, Amchiche, leur chat d’adoption. Malheureusement, une fois arrivés, les avertissements anonymes sont clairs, leur chat n’est pas le bienvenu ni dans le village ni sur le territoire français. Et les représailles seront terribles ! Un roman sur le racisme qui laisse une fin pleine d’espoir.

Dès 9 ans. 

Les doigts rouges de Marc Villard :

Nous retrouvons Ricky le héros de Menaces dans la nuit, cette fois en vacances avec son frère et sa sœur dans le sud de la France. Ricky est très inquiet depuis qu’un gendarme est passé les voir pour savoir s’ils avaient des nouvelles d’un certain Bruno avec lequel son frère Georges s’est battu. En effet, Bruno a disparu sans laisser de traces, tout le monde le recherche et Georges affirme au gendarme qu’il ne sait rien et qu’il n’a pas du tout envie de parler de ce garçon. Alors, lorsque Ricky aperçoit son frère en pleine nuit sortir de la grange les mains couvertes de sang, son imagination déborde et la panique s’installe.

Dès 9 ans.

 Trois fêlés et un pendu de Jean-Hugues Oppel :

C’est l’histoire d’une bande de copains inséparables qui passent leur temps à jouer aux aventuriers. Alors le jour où Lucien découvre un trésor caché au fond d’une grange, c’est l’excitation générale ! Tiraillée entre curiosité et hésitation, notre joyeuse bande décide finalement de se rendre sur place pour voir le trésor de ses propres yeux. Et là surprise : au-dessus du coffre, un homme est immobile, pendu au plafond de la grange. Panique à bord… Que faire ? Prévenir la police ? Se servir quand-même dans le trésor ? Ne rien dire à personne ? Malheureusement nos trois héros ne sont pas au bout de leurs surprises… Un polar bien ficelé avec suspense et rebondissements.

Dès 9-10 ans.

Aller chercher Medhi à 14 heures de Jean-Hugues Oppel :

On est lundi. Simon, le père de Medhi a tout un programme à respecter pour la journée avant d’aller récupérer son fils à 14h, à la sortie de l’école. Aller à la Poste, chez le cordonnier, à la banque, faire quelques courses, déjeuner en vitesse et enfin aller chercher Medhi avant de filer dans une agence de voyage pour réserver leurs prochaines vacances de Noël. Malheureusement rien, mais alors rien, ne va se passer comme prévu et c’est une véritable avalanche de catastrophes qui attend le père de Medhi. Une course contre la montre pour ce pauvre Simon qui vire au cauchemar. Tout va très vite dans ce roman dont la chute est irrésistible !

Dès 8 ans.

 Proposé par Marianne ( Médiathèque Paul Valéry GARGENVILLE)

​

Astrid Bromure

Fabrice Parme

Rue de Sèvres 

5 tomes déjà disponibles à la médiathèque !

Une chose est sûre, on ne s’ennuie jamais en lisant les aventures d’Astrid Bromure ! Cette petite fille espiègle a plus d’un tour dans son sac pour nous faire vivre de grands moments d’humour. 

Astrid vit seule dans le manoir familial, situé tout en haut d’un immeuble qui ressemble fort à l’Empire State Building de New York. Ses riches parents étant toujours absents, et malgré la présence de ses animaux de compagnie et du personnel de maison qui veille sur elle, Astrid trouve souvent le temps long, très long.

Alors chaque événement du quotidien est source d’aventure et de découverte comme le fait de perdre une dent et d’espérer voir la petite souris, de visiter un manoir hanté par de soi-disant fantômes, de voyager à l’autre bout du monde, de rencontrer son fantasque oncle écossais ou d’apercevoir le yéti.  

Et oui, car dans chacune de ses histoires, Astrid croise une créature fantastique ou légendaire et ça, ça occupe ! 

Une bien jolie série au charme suranné irrésistible, des dessins délicats qui fourmillent de petits détails, des personnages tellement expressifs et une mise en page incroyable !

On attend avec impatience un éventuel tome 6…

Proposé par Marianne ( Médiathèque Paul Valéry GARGENVILLE)

​

La clé sous la porte

Julia Chausson

Editions À pas de loups 

Grande mise en vente au pays des contes !

Treize personnages de contes célèbres déménagent et vous laissent leur clé. À vous de retrouver, grâce aux petites annonces, à qui appartiennent chaque maison et chaque clé. Un petit album carré truffé d’indices tant dans les couleurs utilisées que dans le texte et une technique de gravure sur bois pour l’illustration qui font de ce livre un très bel objet ! Quelle idée originale et ludique pour jouer avec les contes et leur représentation.

On adore !

Dès 5/6 ans.

À retrouver au rayon contes jeunesse de la médiathèque.

Proposé par Marianne ( Médiathèque Paul Valéry GARGENVILLE )

​

 Vous aimez les aventures des Buveurs d’encre, nous aussi !! Alors n’hésitez-pas à vous plonger dans la lecture de ces deux dernières nouveautés : Le buveur d’art et Le buveur d’écrans d’Éric Sanvoisin.

Dans Le buveur d’art, Odilon, Carmilla et Tonton Draculivre sont confrontés à la disparition des étranges tableaux du célèbre peintre Odilon Redon. La directrice du musée est désemparée face à ces œuvres blanches dont la peinture a été intégralement aspirée. Nos jeunes héros prennent les choses en main et décident d’enquêter pour démasquer le coupable. Mais leurs investigations risquent de beaucoup les surprendre.

Dans Le buveur d’écrans, Tonton Draculivre rapporte de la bibliothèque un objet inconnu, une liseuse électronique. Après avoir écouté Odilon et Carmilla sur l’utilité et le fonctionnement de cet objet, Tonton, curieux, décide de goûter aux histoires numériques contenues dans la liseuse. Et là, c’est la catastrophe ! Non seulement il trouve le goût infect mais en plus il s’aperçoit qu’il est allergique à l’encre des écrans. Ni une ni deux, nos jeunes héros courent chez Nono, leur ami geek spécialiste informatique, pour lui demander de l’aide et trouver une solution afin de rendre ces encres virtuelles meilleures et hypoallergéniques. Un vrai défi !

Une série de courts romans à succès qui fonctionne toujours aussi bien, avec humour et cette fois des clins d’œil à l’art et aux nouvelles technologies.

Bref, une valeur sûre à dévorer ou devrais-je dire à aspirer dès 7 ans !

Retrouvez d’autres titres de la série à la médiathèque au rayon Premiers romans.

Proposé par Marianne ( Médiathèque Paul Valéry GARGENVILLE )

​

Kidnapping à la confiture

de Marie Lenne-Fouquet 

Sarbacane

Si vous voulez rencontrer une mamie qui fait du ski nautique, une fillette sourde qui joue à débrancher ses appareils auditifs, un garçon qui s’évanouit à la moindre peur, deux bandits idiots et cruels, un papi amoureux qui fait des roues avec son fauteuil roulant, un homme déguisé en poulpe, une mamie rockeuse qui perd la tête, une autre toujours habillée en robes à froufrous, un oiseau chanteur et des pots de confitures farcis aux bijoux… Lisez sans hésiter cette histoire, elle est faite pour vous. En plus, vous apprendrez un nouveau mot : butyrophobe. Intrigant, non ?

Mais quel bonheur de lire des histoires rocambolesques comme celle-ci ! On aimerait tant que Marie Lenne-Fouquet nous offre une suite pour que l’on ait le plaisir de retrouver ces personnages excentriques et attachants, ce rythme endiablé, cet humour un tantinet irrévérencieux et ces aventures finalement pleines de tendresse et de légèreté. Bref, une lecture qui fait du bien, surtout en ce moment.

À lire dès 9-10 ans.

Proposé par Marianne ( Médiathèque Paul Valéry GARGENVILLE )

​

Rendez-vous sous la lune 

de Carl Norac et Isabelle Chatellard,

auteurs de l’excellent Bazar Circus.

Bon d’accord, je suis fan d’Isabelle Chatellard et du duo qu’elle forme avec Carl Norac, mais en lisant cet album, je suis sûre que vous comprendrez pourquoi. D’une part, le texte est savoureux, plein de poésie et de malice. D’autre part, il est sublimé par des illustrations douces et contrastées avec cette palette de gris bleuté, de vert céladon et de rouge orangé chers à l’illustratrice.

Dans cette histoire, Willie le loup pataud est fou amoureux d’Yvonne la renarde un tantinet coquine mais aux yeux de velours. Difficile de lui avouer, lui qui est si maladroit, si timide. Pas facile de réfréner sa nature profonde de loup hurleur et effrayant. Son rêve va pourtant être exaucé, sa belle lui donne rendez-vous ce soir sous la lune. Ouh lala, du coup c’est un peu la panique. Il va falloir se laver (beurk !), s’habiller de façon élégante (sans être ridicule), et choisir un joli bouquet de fleurs (ce n’est pas gagné !). C’est sûr, ce loup-là est un vrai romantique. Mais avec tous ces préparatifs, on en oublierait l’essentiel : « C’est où, sous la lune ? ».

Une histoire d’amour à lire à voix haute pour apprécier chaque sonorité et pour encore plus de plaisir ! 

Une histoire qui fait du bien, qui réchauffe, qui amuse et qui ferait un beau cadeau à offrir :)

Dès 6 ans.

Proposé par Marianne ( Médiathèque Paul Valéry GARGENVILLE )

​